samedi 17 janvier 2009

Le Kagodon


Monstre halluciné lors de la confirmation des commentaires. Redoutablement difficile à repérer, parfois indéchiffrable.
Pour Jean-Louis ;)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C’est donc un animal sur le dos duquel on ne peut pas s’asseoir, d’autant qu’il surveille ce qui se passe derrière lui.

Il remonte certainement à la nuit des temps, en témoigne sa partie sphérique, antérieure à la punition divine qu’avait encouru le premier être. Le monde était une sphère avec quatre bras et quatre pieds, qui un jour a du faire une connerie, et « vlan », le dieu qui en avait la tutelle lui a filé un coup de hache qui l’a coupé en deux (à quelques détails près), et ça a donné l’homme et la femme, qui depuis se cherchent, dans l’espoir de retrouver leur félicité originelle.

Mais on sait aussi que dans la panthéon grec, les dieux forniquaient gaiement et donnaient naissance à toutes sortes d’êtres. On dit même que certains se cacheraient en Ecosse. Auront-ils des descendants ? Ce n’est pas sûr. Celui-là s’est pris pour un spermatozoïde, mais au lieu de se laisser bouffer par l’ovule, je pense qu’il a fait l’inverse.

CREATION DU BLOG


En règle générale, le support virtuel m’indiffère.

Le papier est beaucoup plus abordable pour le dessin. Le carton également, le tissu, la pierre à la limite...

Mais l’immatérielle, l’impalpable relation entre le dessinateur et son ordinateur, je trouvais cela «rigolo cinq minutes, sûrement très sérieux pour d’autres» sans que la technique ne me transcende.

Ce blog ne me servira donc pas de support de travail mais de lieu d’exposition virtuel(le). C’est après tout ce que de nombreuses bibliothèques dans le monde s’efforcent d’établir, une numérisation des ouvrages afin de permettre leur accessibilité à tous et d’améliorer leur conservation.

Et cette action, en tant qu’étudiante en restauration d’œuvres d’art sur support papier, j’y suis sensible.

Commençons donc, très modestement, une numérisation de mes travaux pour une raison qui pour le moment, m’échappe encore… On ne sait jamais, peut être est-ce utile ?